
Collection GF
Edition Flammarion
Résumé :
Mon avis :
Racine n'est pas vraiment la tasse de thé de tous le monde et je comprends tout à fait. Ce n'est pas très facile de lire une pièce de théâtre en alexandrins qui est en plus coupée par un choeur. Mais je l'adore, enfin pas toutes ses pièces, j'ai du mal avec Britannicus, mais Bérénice reste dans l'idée global de la tragédie avec deux héros qui s'aiment à la folie. Malheureusement, les dieux en ont décidé autrement en les forçant à se séparer. C'est à cette séparation qu'arrive le lecteur, une séparation tout en douleur et en lamentation comme dans toutes pièces tragiques qui se respectent.
Quand je lis du Racine, j'avoue que je ne m'intéresse pas vraiment au fond, l'intrigue habituellement est assez simple, je préfère m'appliquer sur la forme et les les alexandrins à haute voix. C'est une véritable poésie, et un vrai plaisir pour les oreilles.
Résumé :
Il s'agit d'une
pièce de théâtre tragique composée de cinq actes. Elle fut présentée pour la
première fois à l'Hôtel de Bourgogne le vendredi 21 novembre 1670. Il
semblerait que Racine ait écrit cette pièce en compétition avec Corneille. A
partir de 1680 et jusqu'à la fin du siècle,
Bérénice, pour le nombre de présentations (51 à la Ville et 6 à la Cour)
restera très loin d'Andromaque Bérénice est
l'histoire d'un amour malheureux entre l'empereur de Rome Titus avec la reine
étrangère Bérénice et leur ami commun Antiochus fou amoureux de Bérénice. Rome
refuse cette reine qui est en plus étrangère et Paulin le fidèle conseiller de
Titus lui conseille fortement de la faire partir. Apparaît alors dans les actes
suivants le désespoir de Titus partagé entre son pouvoir nouveau et son amour
de 5 ans, le désespoir de Bérénice qui sait avoir toujours déplu aux Romains
par son sang étranger et son rang de reine mais qui restait à Rome pour son
unique amour et Antiochus qui sert de messager de mauvais augure pour la femme
qu'il aime et qui navigue entre espoir et désespoir. Finalement, pas de suicide
à la fin, mais un destin plus tragique puisque Bérénice quitte Rome pour ne
plus jamais revoir Titus qui pensait finalement essayer de convaincre le Sénat
pour qu'il accepte cette nouvelle reine et Antiochus son ancien ami
annonciateur de mauvaises nouvelles qui venait de lui annoncer son amour.
Racine n'est pas vraiment la tasse de thé de tous le monde et je comprends tout à fait. Ce n'est pas très facile de lire une pièce de théâtre en alexandrins qui est en plus coupée par un choeur. Mais je l'adore, enfin pas toutes ses pièces, j'ai du mal avec Britannicus, mais Bérénice reste dans l'idée global de la tragédie avec deux héros qui s'aiment à la folie. Malheureusement, les dieux en ont décidé autrement en les forçant à se séparer. C'est à cette séparation qu'arrive le lecteur, une séparation tout en douleur et en lamentation comme dans toutes pièces tragiques qui se respectent.
Quand je lis du Racine, j'avoue que je ne m'intéresse pas vraiment au fond, l'intrigue habituellement est assez simple, je préfère m'appliquer sur la forme et les les alexandrins à haute voix. C'est une véritable poésie, et un vrai plaisir pour les oreilles.
Ma phrase :
"Que le jour recommence, et que le jour finisse, sans que jamais Titus puisse revoir Bérénice."
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